Etudes et recherches
 

Etude des Dr. Osiek et Bondolfi en 1998 :

- 2526 personnes

- moyenne d’âge 44 ans

- Questionnaires SOGS et CAGE

- Objectifs :
1. Quantifier la prévalence des joueurs pathologique et mettre en évidence leurs caractéristiques
2. Mettre en évidence le rapport entre le jeu pathologique et la consommation d’alcool
3. Evaluer l’incidence de l’offre de jeu sur l’émergence du jeu pathologique

- Taux de joueurs pathologiques 0,8%

- Taux de joueurs à risque 2,2,%

- Nombre de joueurs pathologiques entre 32'700 et 77’800

- Nombre de joueurs à risque 107'000 et 179’800

- Dépendance croisée avec l’alcool estimée à 36% pour les joueurs pathologiques contre 8% des personnes jouant occasionnellement

- Majorité d’hommes, salariés, célibataires, d’environ 33 ans et ayant joué la première fois entre 19 et 25 ans

- 1,3% des joueurs avaient demandé de l’aide

Référence : G.Bondolfi, C. Osiek, F. Ferrero, 1er février 2000, Clinique de Psychiatrie II, consultation Ouest – Jonction, Genève

Référence : Etude BASS, 24 novembre 2004, Büro für Arbeits und Sozialpolitische Studien, Bern www.buerobass.ch


Le fait que la demande d’aide était si rare, et reste relativement parcimonieuse, peut s’expliquer par le fait que les joueurs ne considèrent pas, de prime abord, leurs excès de jeu comme un problème pouvant nécessiter des soins ou une aide appropriés

L’information et la sensibilisation sont parmi les outils de prévention permettant l’identification d’un problème de dépendance au jeu

« Une exposition importante aux jeux, légaux ou illégaux, augmente le nombre de joueurs récréatifs et peut multiplier les risques pour les joueurs plus vulnérables » Volberg 1994, Bondolfi et coll 2000


 

 
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