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Un de vos proches joue ?
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Impact sur la famille
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Selon
les estimations, il y en a environ 12 à 15 personnes affectées,
plus ou moins directement et sévèrement, pour une
personne dépendante.
En Suisse, la dépendance au jeu touche environ 150 000 personnes
!
Vivre avec une personne souffrant de jeu excessif est une expérience
éprouvante. Le conjoint ou la conjointe, les proches, peuvent
se sentir insécurisés, démunis, furieux aussi
face à ce problème.
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Les
comportements d'aide qu'ils tentent d'apporter
se font souvent à leur propre détriment :
On parle alors de co-dépendance.
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Bien que leur but soit d'aider, ils s'épuisent à réparer,
à compenser les problèmes du joueur et peuvent, de
ce fait, retarder le moment où la personne qui joue devra
faire face à la réalité, c'est-à-dire
aux conséquences de ses problèmes de jeu.
La co-dépendance génère une souffrance semblable
à celle que vit la personne dépendante au jeu : obsessions,
compulsions, tentatives de contrôle, déni, perte de
ses intérêts et de ses valeurs, ...
Il est important de considérer leur besoin d'écoute
et de soutien : il existe des spécialistes pouvant les aider.
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