Quelle que soit la dose, le préservatif s'impose

En cas d'abus, lâche pas ton pote

Choisis ta soif la fête sera belle

Lorsque jouer n'est plus un jeu, un seul numéro gagnant: 0800 801 381

Alcool, tu atteins des sommets... Plus dure sera la chute...

Bourré de talent, pas d'alcool

90% des fumeurs et fumeuses sont devenus accros avant leur 20 ans

50% des fumeurs et fumeuses meurent du tabac

Chaque année, la fumée passive tue entre 500 et 1000 enfants

Depuis que j'ai arrêté de fumer, j'ai retrouvé la libido et le goût des aliments (Jean, 42 ans)

La fumée du tabac compte parmi les polluants atmosphériques les plus dangereux

Ça y est, j'ai arrêté... Je ne me suis jamais sentie aussi bien! (Louise, 24 ans)

Actualités

Le Baclofène fait reparler de lui


Ce médicament qui est maintenant souvent utilisé pour aider les personnes dépendantes de l’alcool à se sevrer et à maintenir une abstinence n’est pas encore reconnu en Suisse avec cette indication thérapeutique.

La France vient d’accorder une Recommandation Temporaire d’Utilisation à ce médicament dans une nouvelle indication d’aide au maintien du sevrage d’alcool.

Le Dr Pascal Gache, alcoologue, vient d’écrire à Swiss Medic pour lui demander d’aller dans le même sens que la France en attendant les résultats définitifs des études randomisées entreprises pour établir le bien fondé de ce médicament dans le traitement de l’alcoolisme.

Pour rappel, c’est le Pr Olivier Ameisen, cardiologue, qui a essayé le baclofène sur lui-même car il souffrait d’alcolo-dépendance. Une prescription de baclofène à hautes doses lui a permis de se libérer de ses envies irrépressibles de boire.
En revanche, il ne faut pas ignorer que ce médicament peut entraîner des effets secondaires importants, raison pour laquelle une certaine prudence est de mise en l’absence de résultats probants.

La FEGPA suit avec grand intérêt le développement des recherches et expériences cliniques sur le Baclofène. Comme les personnes concernées, la FEGPA souhaite que tous les moyens soient mis en œuvre pour faciliter et accélérer la recherche qui pourrait déboucher sur une homologation de ce médicament. Mais elle a décidé d’attendre les résultats des recherches entreprises qui devraient être disponibles en automne 2014, avant d’appuyer une initiative demandant la reconnaissance du médicament.

3 avril 2014.